Une transaction immobilière toutes les cinq minutes à Dubaï. Voilà ce que représente l’immobilier à Dubaï en 2022, et la plupart des études démontrent qu’en 2023 ce rythme ne compte pas ralentir. Une croissance du PIB de 4,5% est attendue et une économie prônant le top 10 mondial ne laisse plus aucun doute quant au pouvoir de Dubaï. C’est ainsi que cette ville robuste se hisse en première place en termes d’investissements directs étrangers (IDE). Dubaï a été récemment nommée par TripAdvisor comme la meilleure destination touristique pour 2023, ce qui laisse présager un nombre de visiteurs important pour cette même année. Par conséquent, l’immobilier à Dubaï ne peut que se porter dans le même sens, soit de manière fructueuse.

Prédire l’évolution de Dubaï pour les années à venir n’est pas très difficile. Elle aspire à être la ville la plus puissante au monde et plusieurs plans sont déployés pour y arriver. Celui de Dubaï 2040 nous démontre son ambition de garder et d’atteindre la première place dans tous les domaines en développant notamment de nouvelles zones urbaines. 8 000 milliards d’euros, c’est le coût du nouveau plan de Sheikh Al Maktoum le Sheikh de Dubai. Il s’agit d’un projet titanesque qui mènera avec certitude Dubaï à ses fins.

Toutes ces raisons écrasent la moindre ambiguïté quant à l’investissement immobilier à Dubaï, et les chiffres le soulignent.

8% net, c’est en moyenne ce qu’un investissement locatif vous rapportera et cette somme peut doubler si votre bien est mis en location en courte durée, type AirBnb. En comparaison avec d’autres grandes villes, investir dans l’immobilier à Dubaï rafle largement la première place. Investir à Paris, New-York, Londres ou encore Singapour peut vous rapporter un rendement entre 2 et 3,5% brut. Cette raison est simple, malgré toute la puissance de Dubaï, le prix de l’immobilier y reste encore faible comparé au prix des locations. Pour acquérir un mètre carré dans cette ville, vous vous verrez débourser en moyenne 4500 euros, encore loin de la barre des 10 000 euros déjà dépassée par les villes citées précédemment, mais pas pour longtemps.

En effet, Dubaï est ambitieuse et souhaite devenir la ville possédant le prix au mètre carré le plus cher au monde d’ici 2040. On comprend aisément que dans moins de 20 ans cette ville deviendra inaccessible tout comme New-York ou Singapour.

Quoi qu’il en soit, les investisseurs du monde entier l’ont très bien saisi et n’hésite donc pas à miser en masse sur l’immobilier à Dubaï pour faire fructifier leur argent. Ajoutez à cela une législation émirienne très favorable au business, et vous observez des buildings vendus en moins de 24 heures.

Vous aurez certainement compris que rien n’est laissé au hasard à Dubaï. Tout d’abord, un passeport suffit pour devenir propriétaire, seul ou à plusieurs. Aucun autre justificatif ne vous sera demandé, et donc pas de passage obligatoire par la case notaire, tout est automatisé par la DLD (Dubai Land Department). Cette institution validera et éditera vos différents titres de propriété que vous recevrez directement sur votre boite mail. Un gain de temps conséquent pour investir considérablement, en sus une heure suffit pour devenir propriétaire directement auprès du promoteur en investissant dans l’immobilier à Dubaï.

Ensuite et surtout, une loi unique au monde permet aux investisseurs de revendre leur bien en ayant déboursé uniquement 30% de celui-ci. Ainsi, des plus-values conséquentes pouvant dépasser 100% de la somme investie sur une courte durée sont réalisées. Ce type d’opérations, le trading immobilier, est la spécialité de Vici Real Estate qui vous accompagne étape par étape tout au long du processus.

Les promoteurs, les unités et le timing sont scrupuleusement étudiés en amont par nos experts. L’immobilier à Dubaï permet donc d’atteindre des gains comme nulle part ailleurs et a pour conséquence d’entrainer des ruptures d’unités en un temps record. Les investisseurs ont compris la facilité avec laquelle il était possible de gagner de l’argent à Dubaï. Plusieurs études établies par nos experts sur différents projets démontrent des chiffres vertigineux.

Enfin, des facilités de paiement ou également appelé plans de paiement sont proposés directement auprès du promoteur. Il s’agit d’un échéancier, sans frais ni intérêts étalés sur plusieurs années et qui vous permet de régler votre bien en plusieurs fois. C’est un fait très important pour les investisseurs, étant donné que cette méthode permet de ne pas mobiliser toute sa trésorerie.

Par ailleurs, si vous choisissez un investissement locatif plutôt qu’un flipping (action de trading immobilier en achat-revente) sachez que le processus de location est bien loin de ce que nous pouvons connaitre en France. Les locations durent généralement un an (à renouveler) et sont payables en un seul chèque, ce qui permet d’effacer le souci des loyers impayés et d’obtenir un rendement garanti.

La demande de location est importante et l’offre n’est pas souvent au rendez-vous, ayant pour conséquence de naturellement accroître le prix des loyers, parfois plus cher que d’autres villes comme Paris. Ainsi, le montant de la location est très élevé comparé au prix d’achat, d’où les rendements impressionnants. Comptez autour de 25 000 euros par an pour habiter dans un appartement une chambre au centre de Dubaï, ou encore 1000 euros la nuit pour avoir le privilège de résider près de la Burj Khalifa ou sur la Palm Jumeirah.

Notez que la sécurité dans cette ville ne concerne pas uniquement la criminalité, mais également vos investissements. Après la crise des subprimes survenue en 2008 et qui a plongé le monde entier dans une crise financière, Dubaï a décidé de réagir vite.

Plusieurs promoteurs ont mis la clé sous la porte cette même année et c’est ainsi que les comptes séquestres ont été créés pour y remédier. Le promoteur immobilier à Dubaï doit montrer patte blanche avant de pouvoir procéder à la commercialisation d’un projet, notamment avec un cahier des charges détaillé de celui-ci.

Des inspections récurrentes de la DLD du chantier auront lieu, et surtout tous les versements effectués par les investisseurs en accord avec le plan de paiement doivent être transférés dans ce compte séquestre, ce compte tiers géré par l’État permettant de protéger les futurs propriétaires.

Si le promoteur ne respecte pas le contrat, la DLD peut procéder au remboursement de l’investisseur.